Garry Fabian-Miller: Rayons de Couleurs
29 Octobre – 6 Décembre 2011
« Les rigueurs de cette géométrie nous en disent plus que tous les flous artistiques. »
Michel Tournier (Prix Goncourt) à propos de Garry Fabian-Miller.
Artiste exposé :
Garry Fabian-Miller.
Geert van Fastenhout & Hans Steinbrenner: rencontre
22 Septembre – 27 Octobre 2011
Quatre ans après « samenklank », leur exposition commune au musée Mondriaanhuis d’Amersfoort en 2007, nous présentons ces deux artistes en raison de leurs affinités et de leur estime réciproque, et en hommage à Hans Steinbrenner, disparu peu après l’exposition personnelle que nous lui avons consacrée en 2008. Vous découvrirez notamment des sculptures réalisées pendant sa résidence à Paris en 1967, dialoguant avec des peintures de Geert van Fastenhout, très appréciées des collectionneurs japonais.
Artistes exposés :
Geert van Fastenhout, Hans Steinbrenner.
appartement d’un collectionneur II
28 Juillet – 27 Août 2011
La galerie vous présente des oeuvres de Marcelle Cahn, Mariano Carrera, Ivan Contreras-Brunet, Robert Currie, madé, Emiel Gilioli, Eve Gramatzki, José Heerkens, André Heurtaux, Antoine de Margerie, Fransesco Marino di Teana, Yvon Mutrel, Joan Palà,, Christian Parquet, Lars Strandh, Marie-Thérèse Vacossin, Victor Vasarely,
ainsi qu’un tapis de Hans Hartung, et du mobilier de Gae Aulenti, Harry Bertoia, Marianne Brandt, Marcel Breuer, Pierre Folie, Arne Jacobsen, Ludwig Mies van der Rohe, Pierre Paulin.
carte blanche à Philip Hughes
18 Juin – 26 Juillet 2011
Comme Nicolas de Staël un an avant avec son achat du Castelet, ma famille a acquis à Ménerbes, en 1954, l’ancienne cure, connue sous le nom de “La porte Saint-Sauveur”. Mes parents et mes oncles étaient marchands de tableaux – comme leur père, René Gimpel, dont la nouvelle édition du Journal d’un Collectionneur est en cours de publication chez Hermann. Il était donc naturel d’exposer Staël à Londres, où la galerie Gimpel fils avait ouvert ses portes, en 1946.
Dans les années 50, le village et ses environs constituaient un lieu exceptionnel pour nos jeux d’enfants. Avec mon frère, mes cousins, les enfants de Nicolas de Staël et les jeunes du village, nous nous retrouvions pendant les vacances scolaires. Pendant tout l’été, les ruines, rues, ruelles ainsi que les grottes qui surplombaient le chemin des Cloches qui mène du Castelet au village – en passant sous l’arche de la porte Saint Sauveur – nous appartenaient, offrant à nos imaginations d’enfants des ressources infinies.
René Gimpel
Artistes exposés :
Chris Dury, Philip Hughes, Nicolas de Staël.
Marie-Thérèse Vacossin: blanc à l’horizontale
19 Mai – 16 Juin 2011
blanc d’espace
blanc de lumière
blanc infini
Artiste exposé :
Marie-Thérèse Vacossin.
Norman Dilworth: progression
7 Avril – 17 Mai 2011
A l’époque de Platon, la géométrie et l’arithmétique étaient des disciplines majeures d’une éducation classique. L’objet de cette éducation était de permettre à l’Homme de contempler à travers la géométrie les mystères de la création. Le cercle représentait l’espace pur et inconnu : l’infini. Le carré symbolisait le monde compréhensible et manifeste, la réalité connue, le fini.
Artiste exposé :
Norman Dilworth.
Knut Navrot : bleu (limites)
3 Mars – 5 Avril 2011
Knut Navrot dit vouloir reprendre la peinture à ses origines et pratiquer un art sans référence. Il cherche pour y parvenir à dégager les éléments propres à la peinture et qui ne renverraient qu’à eux-mêmes. Il les met en œuvre selon des principes clairs, dont il expérimente les différentes possibilités, le système l’intéressant au moins autant que son résultat. Pour singulière qu’elle se revendique, la démarche de Knut Navrot n’est pas isolée : elle se situe parfaitement dans la continuité du manifeste de l’art concret de 1930 et des idées de Theo van Doesburg, ainsi que des statements d’Ad Reinhardt. »
Serge Lemoine, extrait de l’introduction à la monographie éditée pour l’exposition, paris, 2008
Artiste exposé :
Knut Navrot.
Guy de Lussigny : parcours italien
20 Novembre 2010 – 8 janvier 2011
« Il règne autour des toiles de Guy de Lussigny un mystère. Comme le témoignage murmuré d’une aventure intérieure, presque d’une expérience mystique. Il lui suffit de décliner la forme géométrique la plus simple – le carré – et de jouer sur les oppositions chromatiques les plus imperceptibles, pour dilater ses œuvres picturales, les hisser au rang d’un véritable univers, où il s’agit moins de cueillir, de chercher ailleurs son bonheur, que de se recueillir, de se trouver soi-même ».
Frédéric Vitoux, de l’Académie Française, qu’une grande amitié liait à Guy de Lussigny, a écrit ce texte à l’occasion de notre exposition de 2007.
La peinture de Guy de Lussigny, sobre et précise, est d’une grande poésie. En 1996, l’Institut de France, Académie des Beaux-Arts lui décerne le Prix Dumas-Millier.
Ses œuvres sont présentes dans les collections publiques de nombreux musées: Valenciennes, Montbelliard, Mâcon, la Fondation Calderara, le Fnac, le Frac Ile de France, le Mondriaanhuis à Amersfoort (NL), Musée Tavet de Pontoise, Musée Matisse au Câteau-Cambrésis, et surtout au Musée de Cambrai avec 119 œuvres de la donation André Le Bozec, grand collectionneur et mécène.
Parcours italien présente des peintures sur bois ainsi que des gouaches et aquarelles sur papier réalisées entre 1975 et 1985, années au cours desquelles Lussigny effectue de nombreux voyages en Italie et se lie d’amitié avec Antonio Calderara. Notre exposition a lieu en parallèle à la grande rétrospective que le Musée de Cambrai lui avec son exposition ‘La couleur à travers le temps’ Rétrospective 1952-2001 du 23 octobre 2010 au 06 février 2011.
Artiste exposé :
Guy de Lussigny.